Liens amis
Les Franciscaines Deauville est un équipement culturel situé à Deauville, qui réunit notamment des salles d’exposition, un musée consacré à l’œuvre d’André Hambourg, un auditorium, une médiathèque, un fab lab, un lieu de restauration et des espaces articulés autour de thèmes sur : le cheval, le cinéma, le spectacle, la photographie, l’art de vivre, la jeunesse.
Bâtiment remarquable, érigé en , il a été occupé jusqu’en 2012 par les sœurs de la communauté Notre-Dame de la Pitié. Les collections du musée et de la médiathèque concernent la musique, la littérature, la peinture, la poésie, la création numérique et la photographie, la chanson et le cinéma.
Ce grand projet de la Ville de Deauville affiche l’audace d’un espace contemporain, dont l’originalité tient à son hybridité, à sa volonté de décloisonner les savoirs et les arts, à son ancrage territorial et à sa volonté d’en faire avant tout un lieu de vie. Une triple vocation guide le programme culturel de ce lieu magnifique qui a ouvert ses portes en 2021 : convivialité, exploration de ressources, programmation artistique.
Le festival Normandie impressionniste est un festival artistique pluridisciplinaire sur le thème de l’impressionnisme. Il se déroule durant le printemps et l’été en Normandie. Débuté en 2010, le festival a eu lieu en 2013, 2016 et 2020.
Le festival est organisé par la Communauté d’agglomération rouennaise et l’association Normandie impressionniste, qui deviendra un groupement d’intérêt public, présidée par Pierre Bergé. Il se déroule sur l’ensemble du territoire normand et son objectif est de mettre en valeur ce courant esthétique à travers toutes ses formes : peinture, art contemporain, musique, cinéma, théâtre, danse, photographie, vidéo et la littérature. En plus des animations culturelles classiques comme des expositions ou des cycles de conférences, les organisateurs mettent en place des activités plus orientées vers le divertissement et à destination du grand public, comme des spectacles son et lumière, des déjeuners sur l’herbe (en référence au tableau de Manet) ou des guinguettes.
Situé au cœur du château de Guillaume le Conquérant, dans un bâtiment contemporain, le musée des Beaux-Arts compte parmi les musées les plus importants de France en matière de peinture européenne des XVIe et XVIIe siècles (France, Italie, Flandres, Hollande), tandis que sa collection de gravures en fait l’un des lieux incontournables. Depuis 2007, le château médiéval accueille un Parc de sculptures.
L’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Caen est une société savante fondée en 1652 par Jacques Moisant de Brieux. C’est la première académie littéraire en France après l’Académie française. Fidèle à l’esprit de ses fondateurs, l’Académie est aujourd’hui encore une assemblée de personnalités cultivées, hommes et femmes venant d’horizons intellectuels et de formations professionnelles forts différents qui partagent la même démarche de recherche, de débat, d’échanges de vues sur tous les sujets touchant non seulement aux arts, aux sciences et aux belles lettres, mais aussi à toutes les disciplines auxquelles leurs contemporains du XXIe siècle peuvent s’intéresser.
L’Académie est donc un lieu privilégié de rencontre, de stimulation intellectuelle, de participation à l’élaboration des savoirs de demain. Elle se veut également un creuset d’idées donnant sens à notre civilisation prise dans le tourbillon de l’urgence et aussi en quête de sens, creuset dans lequel chacun pourrait puiser et alimenter sa réflexion.
Le musée Thomas Henry, qui bénéficie de l’appellation Musée de France, est le troisième musée des beaux-arts de Normandie par la richesse historique et thématique de ses collections. Il est situé au Quasar à Cherbourg-Octeville.
Le musée est né en 1835 de la volonté d’un homme, marchand d’art et mécène : Thomas Henry (1766-1836). Se voyant sans héritiers, il décide, à 65 ans, de donner une partie importante de sa collection personnelle d’œuvres d’art à sa ville natale de Cherbourg, sous réserve que celle-ci se dote d’un musée pour les mettre à la disposition du public. Les œuvres ont été sélectionnées avec un souci pédagogique prononcé. L’ambition de Thomas Henry est de contribuer à l’éducation publique des cherbourgeois, en « offrant des jouissances et des leçons à ceux (…) qui ont reçu de la nature le goût des beaux-arts ».
En mal de sincérité parce qu’ils avaient connu ce monde autre, les peintres se tournent vers les blanchisseuses et les pêcheurs, tandis que déjà beaucoup d’entre eux se convertissent aux petits métiers du tourisme : promener en mer, tirer les cabines vers le rivage, pêcher pour nourrir les nouveaux arrivants. La côte se transforme et se construit : hôtels, établissements de bains, casinos, et la foule est entraînée par les célébrités de l’aristocratie et du spectacle qui s’installent dans leurs nouvelles demeures. Il est fini le temps où Eugène Isabey pouvait croquer à distance tout ce monde pittoresque. Il est désormais morcelé, manipulé, intégré comme faire valoir à ce nouveau mode de vie. Dans leurs vues, les artistes tentent encore de tempérer les chocs et d’organiser ces mélanges. Ils se vivent toujours comme des détenteurs de secrets qu’ils délivrent parcimonieusement d’un tableau à l’autre, évitant dans leurs mises en page les effets les plus grossiers des implantations modernes.
Situé à l’entrée du port, le Musée d’art moderne André Malraux — MuMa Le Havre offre une architecture entièrement dédiée à l’espace et à la lumière. La situation exceptionnelle du bâtiment est soulignée par Le Signal, sculpture d’Henri-Georges Adam, qui encadre de béton un morceau du paysage maritime qui a inspiré nombre d’artistes présents dans les collections du musée. Situé au bord de la mer, le Musée d’art moderne André Malraux — MuMa Le Havre offre une architecture entièrement dédiée à l’espace et à la lumière.
Il est ainsi nommé en l’honneur de l’écrivain français André Malraux qui, alors ministre de la Culture, fit de ce musée un lieu d’avant-garde, le premier Musée-Maison de la culture, qu’il inaugura en 1961.
Le 11 avril 1868, le musée municipal est créé par délibération du conseil de la ville et par la volonté d’un artiste, né à Honfleur, Louis-Alexandre Dubourg. Le conseil municipal souligne que cette création est « inspirée par l’amour de l’art, l’esprit de progrès et un dévouement désintéressé à la chose publique », rendant ainsi hommage au fondateur.
Le musée porte, depuis 1960, le nom d’Eugène Boudin, en souvenir de celui qui en 1868 a soutenu les premiers pas de l’institution et l’a dotée en 1899 d’un legs prestigieux. Attaché à sa ville natale et ami d’Alexandre Dubourg, Eugène Boudin apporte en effet son soutien moral lors de l’installation du musée, destiné à donner aux Honfleurais, le goût des Beaux-Arts.
La Société des amis du musée Eugène Boudin (SAMEB) a été créée en 1956 afin de contribuer au développement du musée et à l’enrichissement des collections.
Le but de la SAMEB est de mieux faire connaître et aimer tout ce qui touche à la vie artistique au moyen d’expositions, d’éditions de catalogues, de cartes postales, d’affiche et de reproduction d’objets du musée. Elle participe également activement à l’achat d’oeuvres pour le musée.
Dans la vie du musée Eugène Boudin, les dons et les legs tiennent une grande place. Depuis sa création, le musée a grandi au fil des dons : dons de membres fondateurs, d’amateurs honfleurais ou de peintres attachés à la ville.
Parallèlement à ces dons et legs, depuis 1899, une politique d’acquisition s’est mise en place, timidement jusqu’en 1980 puis de manière régulière et orientée depuis 1982. La création du Fond régional d’acquisition des musées (FRAM) est pour beaucoup dans cette politique volontariste.
Le musée des Augustins est le musée des beaux-arts de Toulouse en Haute-Garonne. Créé par décision du et ouvert en 1795, il est abrité dans l’ancien couvent des Augustins de Toulouse. Il rassemble des collections importantes de peinture et de sculpture.
Le musée Alphonse-Georges-Poulain de Vernon est labellisé « Musée de France », ouvert au public en 1983, le musée de Vernon a été installé dans l’ancien hôtel particulier de la famille Le Moine de Bellisle (XVe – XVIIIe siècles) près de la Seine et propose un parcours riche et varié. Autour de l’impressionnisme, les collections présentées constituent une étape indispensable de la visite de Giverny, avec ses tableaux de Claude Monet et des artistes qui y vécurent (T-E.Butler, M. Mac Monnies, Bl. Hoschedé-Monet…).
Des tableaux de P. Bonnard – qui fut, à Vernon, le voisin de Monet entre 1912 et 1938 – et des Nabis (Vuillard, Denis, Vallotton) enrichissent la section consacrée aux paysages de la région.
Le Musée des Beaux-Arts de Marseille est un des quinze premiers musées créés en France par le Consulat en 1801. Musée d’Art européen il est installé depuis 1869 dans l’aile gauche du Palais Lonchamp et présente des œuvres du XVIe au XIXe siècles ainsi qu’une vaste collection de l’artiste baroque Pierre Puget.
André Lemaître est né en 1909 à Falaise et mort à l’âge de 86 ans. Il a peint plus de 4000 toiles durant sa vie. En 2000, la Ville de Falaise lui rend hommage en inaugurant un musée doté d’une collection d’environ 160 œuvres. La collection permanente composée de 70 toiles est le reflet de sa vie et de son œuvre dans toute sa diversité.
André Lemaître a utilisé plusieurs techniques pour peindre et dessiner plusieurs types de tableaux :
des portraits et auto portraits, nus, paysages normands, natures mortes, scènes historiques ainsi qu’une série de tableaux sur le thème de la tauromachie.
Pour ancrer l’œuvre d’André Lemaître dans l’Histoire de l’Art et du Patrimoine, s’est imposée la nécessité de défendre et d’inscrire cette œuvre dans la pérennité, tout en assurant la notoriété du peintre de Cesny.
Un an après le centenaire de sa naissance, et dix ans après l’inauguration du Musée de Falaise qui porte son nom, a donc été créée le 20 février 2010, l’Association des Amis d’André Lemaître.
Dépassant le statut de simple amicale, elle s’est fixée comme objectif dès l’origine d’être un outil d’expertise et de recherche.